Le projet

Il est temps de passer à l’action.

Une période électorale est toujours néfaste pour l’environnement par la débauche de papier qu’elle génère. Voilà pourquoi depuis quelques années, je réfléchis à une façon de compenser cette « charge négative » que nous produisons à l’égard de la nature.

Plus que de vagues promesses ou engagements, je veux être concret, voilà pourquoi je propose une action simple mais claire :

1 voix

= 1 arbre en Belgique

 

+ 1 arbre en Afrique

 

= 2 arbres!

1 voix

= 1 arbre en Belgique

+ 1 arbre en Afrique

= 2 arbres!

Le dérèglement climatique est un des grands dangers auxquels nous faisons face. Et que ce danger, nous pouvons l’arrêter.

Stephen Hawking

Vous avez bien lu, ce seront donc bien 2 ARBRES qui seront plantés pour CHAQUE VOIX obtenue !

Concrètement

Combien ?

Pour chaque voix obtenue par Geoffroy Coomans de Brachène lors des élections du 26 mai 2019, ce seront un arbre planté en Belgique et un second planté en Afrique, soit 2 arbres par vote.
Concrètement, si reçois 5000 voix de préférence, ce seront donc 10.000 arbres au total qui seront plantés !

Quand ?

Dans les 2 ans maximum après ma prestation de serment en juin 2019
Si je ne devais pas être élu, je m’engage néanmoins à les planter dans les 3 ans maximum après l’élection.

Où ?

Une partie des arbres seront plantés dans la région d’Overijse, une autre partie dans les Ardennes.
Par ailleurs, en Afrique, des palétuviers seront plantés afin de renforcer la mangrove, particulièrement utiles pour la biodiversité et la captation de CO2.

Les mangroves, des milieux très riches et menacés
Caractéristiques des zones tropicales humides, bercées par les marées, les mangroves sont une niche écologique et rendent quantité de services. La mangrove est une forêt qui se développe dans les zones côtières des régions tropicales et subtropicales.

Les palétuviers, arbres caractéristiques de la mangrove, poussent « dans la zone de balancement des marées », en général dans la vase. Ils supportent donc l’eau salée et d’être partiellement immergés par les marées mais ont aussi besoin d’eau douce venue de l’amont des rivières.

Les mangroves sont une niche écologique magnifique. Si le nombre d’espèces de palétuviers, 60 à 70 à travers le monde, est relativement limité par rapport à d’autres types de forêts, la faune y est riche. C’est une zone de reproduction, de nurserie et de refuge à l’abri des prédateurs pour beaucoup d’espèces, des crustacés, des batraciens, des poissons, des oiseaux mais aussi des mammifères. Le tigre du Bengale s’y cache au Bangladesh, l’ibis rouge y vit en Amérique du Sud et les mangroves de Madagascar abritent des espèces endémiques comme l’aigle-pêcheur de Madagascar, en danger critique d’extinction.

Puits de CO2

Les mangroves recèlent encore d’autres richesses. Une expérimentation est menée à Mayotte où elles servent de « filtre » des eaux usées domestiques. Les palétuviers permettent aussi de lutter contre l’érosion côtière ou contre les événements climatiques extrêmes, comme des ouragans ou des tsunamis, en atténuant la force des vagues.

Les mangroves sont de formidables puits de carbone, encore plus que la forêt tropicale, contribuant ainsi à lutter contre le réchauffement climatique. Alors que les ouragans et les cyclones devraient devenir plus puissants à l’avenir, la mangrove est d’autant plus indispensable.

Pourquoi ?

Parce que j’ai une fille et que je veux moi aussi contribuer à lui léguer un monde meilleur que celui que je connais
Parce que je veux être concret face à l’enjeu du dérèglement climatique, même s’il ne s’agit que d’une petite action personnelle
Parce que la reforestation est l’une des méthodes les plus efficaces pour diminuer l’impact de ce dérèglement www.nationalgeographic.fr
Parce que, comme politiques, nous avons plus que quiconque un devoir d’exemplarité

Qui paie ?

J’imagine que bon nombre d’entre vous se sont posés cette question légitime, et je tiens à les rassurer. L’ensemble des montants nécessaires pour la plantation des milliers d’arbres sera financé par moi-même, avec mes moyens personnels.
Cela peut sembler étrange ou surprenant pour certains mais je ne fais pas de politique pour m’enrichir mais bien pour tenter d’améliorer notre quotidien, ce projet en fait donc pleinement partie.

Quelles garanties ?

Afin de garantir le bon suivi du projet auprès des personnes qui me font confiance, j’ai souhaité être accompagné par un organisme agréé et leader de la compensation CO2 en Belgique. C’est avec eux que j’assurerai le suivi et ce sont eux qui se chargeront de planter les arbres grâce à leur grande expertise en la matière. Des photos de ces plantations permettront de suivre le projet durant les 2 prochaines années sur ce site Internet.

Pour en savoir plus sur l’organisme indépendant qui se chargera d’assurer le suivi de cet engagement et que je remercie pour son expertise et son professionnalisme CO2logic est pionnier et expert en matière de compensation des émissions de CO2 en Belgique.

Reforest, pourquoi ce nom ?

Jamais évident de trouver un nom pour un projet, qui puisse marquer les esprits de façon positive, sans tomber dans le ridicule ou la caricature.
REFOREST me semblait simple, court, signifiant « reboisement » en anglais, et compréhensible pour un francophone ou un néerlandophone. Par ailleurs, une contraction des mots REFORMATEUR et FOREST. Bref, un bon consensus pour un pas dans la bonne direction.

Et voici certains noms auxquels vous avez échappé 😉
onetwotree.brussels
auxarbrescitoyens.be
soignes-ta-foret.be
treedimensions.brussels
positiveforest.be
blueplanet.brussels

1 voix = 1 arbre en Belgique + 1 arbre en Afrique