Qui suis-je?

Le candidat, son parcours, son projet

Né à Uccle en 1977, j’ai habité à Wemmel, Etterbeek, Schaerbeek mais aussi durant 11 ans en Allemagne, au Luxembourg et en France.

De retour en Belgique à mes 17 ans, je m’installe tout d’abord à Woluwé puis dans le centre-ville de Bruxelles.

En 2000, je deviens administrateur d’Inter-Environnement Bruxelles, durant 9 années.

En 2001, je deviens conseiller communal de Bruxelles, poste que j’occupe encore aujourd’hui.

En 2002, je deviens administrateur du Centre Urbain et de l’Agence Bruxelloise pour l’Energie (qui donnent des conseils en matière d’économies d’énergie, de rénovation et préservation du patrimoine)

 

En 2007, je deviens le 1erhomme politique « CO2 neutre », càd qu’après avoir diminué au maximum le CO2 émis pour l’ensemble de mon année, je suis passé via un organisme pour compenser 100% de mes émissions en finançant des projets de compensation carbone, en plantant l’équivalent en arbres dans un pays émergent. Et c’est aussi le départ d’une longue réflexion sur des initiatives à plus long terme.

 

Ancien échevin de l’Urbanisme et du Patrimoine à la Ville de Bruxelles durant 6 ans, je suis passionné par ma ville et par tout ce qui peut contribuer à la rendre plus belle, plus agréable à vivre, plus verte, et plus fière.

 

En tant que membre du MR, on me demande régulièrement pourquoi un tel intérêt pour l’environnement et notre qualité de vie. Bien que cette question soit légitime, elle m’interpelle à chaque fois. Pourquoi s’intéresser à la préservation de notre planète ? C’est notre intérêt à tous ! Du pur bon sens. Etant à présent le père d’une petite fille, je veux pouvoir lui léguer un monde dont je puisse être fier et qui soit suffisamment sain pour qu’elle puisse grandir sereinement.

 

La transition écologique est une affaire trop sérieuse pour n’être confiée qu’aux seuls écologistes. Bien que de bonnes questions soient posées aujourd’hui concernant le climat, il convient d’y répondre de façon pragmatique, en tenant compte de l’ensemble des processus. Ainsi, l’exemple de la voiture électrique est une preuve par l’absurde qu’il n’est pas aisé de répondre à ces objectifs climatiques.

Ainsi, un professeur de l’ULg expliquait récemment le bilan environnemental global d’une voiture électrique, en comparaison avec un véhicule à essence. 

http://blogs.ulg.ac.be/

 

Bref, je pense sincèrement que l’environnement doit être une préoccupation centrale à la base de nombreuses décisions politiques, parce que la politique, c’est rendre possible ce qui est nécessaire. Mais c’est aussi l’organisation de notre avenir. Et un avenir qui n’est pas respectueux de l’environnement n’existe tout simplement pas.